Pouls
De ces moments passés avec elle.
A ses côtés.
Mes bras enlacés autour de son cou,
Et le battement de mon cœur qui résonne en moi ;
Comme un tambour de guerre.
Les heures passent comme des fragments de secondes,
Qui m’échappent.
Le son de ta voix qui revient dans mes oreilles,
A l’infini.
Même quand tu n’est plus là.
Une souffrance amère à chaque fois que mes doigts doivent te laisser partir.
A chaque fois que le temps t’arrache à moi…
Ses yeux de biche,
Son caractère de louve.
A manier avec délicatesse.
Précieuse.
Elle me tient dans sa main.
Elle le sait et ça la fait rire.
Et moi aussi.
Parce que je me sens comme un con.
Dominé.
Vulnérable.
Valentine. Ses regards de début d’automne.
Quand le soleil caresse encore sa peau…
Sourire de cristal.
Valentine, ce n’est plus un nom.
C’est elle, une poésie à elle seule.
Un monde aux courbes rondes et chaudes,
Et sa tête sur mon épaule quand je fume une cigarette assis à côté d’elle.
Un claquement de doigts,
Et je serais là pour toi, Valentine.
Près de toi.
Pour redécouvrir nos instants,
Sentir une dernière fois ton odeur,
Te lire encore des mots.
Des milliers de mots.
Encore et encore…